Si les procédures des banques en ligne se font entièrement à distance, comment les conseillers en banque peuvent-ils suggérer des services à leurs clients ? Sachez que le fonctionnement des banques en lignes est tout à fait différent des banques traditionnelles que ce soit au niveau du tarif, des conditions de souscription ou du service client. Même si plusieurs suggèrent la gratuité, les conditions sont toutefois nombreuses.
Les bases de fonctionnement d’une banque en ligne
Les banques en ligne ne bénéficient pas d’une agence physique, de ce fait le client ne pourra pas voir son conseiller. Par contre, un service client très exigeant y est placé c’est pourquoi les avis des banques en ligne sont meilleurs que les banques traditionnelles. Appuyez sur cette source pour en savoir plus. Les banques en ligne disposent des plages horaires de contact très étendues, d’un site web et des applications optimisées ainsi que des solutions alternatives. Les conseillers sont disponibles en semaine jusqu’à 21 h et même 22h que ce soit par mail, par téléphone ou via les réseaux sociaux. Saviez-vous qu’aucune banque en ligne n’est indépendante ? Elles sont toutes rattachées par des grands groupes bancaire Français d'où aucun risque de perte d’argent n’est à craindre. Nous pouvons voir par exemple :
- Boursorama Banque : lancée par la Société Générale
- Hello Bank : lancée par BNP Paribas
- Orange Bank : lancée par Orange
- Fortuneo : lancée par Crédit Mutuel Arkéa
- Ma French Bank : lancée par la Banque Postale
Comment se rémunèrent les banques en ligne ?
Quelles sont les bénéfices des banques en ligne si leurs tarifs sont peu chers voire même gratuits ? Les banques en ligne reçoivent leurs revenus lorsque le client l'utilise comme moyen de paiement. Les établissements garantissent plus ou moins que le compte bancaire sera alimenté et débité régulièrement. Il existe également les conditions d’utilisation qui oblige le client à utiliser la carte sinon il sera pénalisé. Les banques en ligne profitent aussi des frais bancaires liées aux incidents de paiements c'est-à-dire le rejet de chèque, la lettre d'information, etc.